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Le récit commence, les conteuses deviennent protagonistes, survient un personnage masqué, un chant s’élève, une danse s'esquisse, une marionnette s’invente dans un tissu, une bâche s’envole, un tambour résonne et des ombres se dessinent sur la coque d’un bateau…

Conte, jeu masqué, théâtre d’ombres, chant...tout se mêle comme par magie, participant à créer un univers fantasmagorique.

 

Partant du principe que si la forme est joyeuse tout peut se raconter, Ayo Aya mêle les disciplines pour enchanter, tout en parlant de sujets graves.

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Sur scène, un vieux voilier s’est échoué. Cette épave sera tour à tour décor, cabanon, support aux ombres fantasques, lieu de retrouvailles ou de cache-cache. Montée sur un roulement à billes, elle tourne sur elle même pour laisser apparaître la cahute de l’hermite et lorsque Gus s’endort, ses rêves projetées en ombres à partir de papiers découpés apparaissent sur la coque...

   L’esthétique de base est inspirée des pêcheurs à la morue du Nord de la France qui jusqu’au début du XXème siècle partaient en mer six mois par an. Nous avons choisi les couleurs pastel et les matériaux nobles d’époque et à cela nous avons ajouté un élément de couleur vive caractérisant chaque personnage...

L’univers visuel

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La forme

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